La Lance de Lordaeron
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[Accepté] Fervon Landzer

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Message  Fervon Landzer Lun 25 Fév - 13:35

Nom en jeu du personnage : Fervon

Nom : Landzer

Prenom : Fervon

Génération : Deuxième génération, ressuscité par une Val'kyr en plein coeur de la forêt des pins argentés

Age : 25 ans à sa mort - 27 ans ans actuellement

Classe en jeu : Chasseur

Spécialisation principal : Précision
Spécialisation secondaire : Survie

Niveau actuel : 45 à l'écriture de ces mots

Présentation :


Un sombre jour,


Hautebrande... Les combats fesaient rage entre les réprouvés venus de l'ouest et les humains de la
ville d'Austrivage. Les forêts et les champs s'étaient transformés en vastes plaines boueuses et stériles. Les rares villages encore debout se vidaient petit à petit de leurs habitants, ces derniers préférant fuir vers des terres un peu plus hospitalières.

Nous sommes à la fin de l'automne, les oiseaux partaient vers le sud et les paysans terminaient leurs
dernières vendanges de la saison, se préparant pour l'hiver qui arrive à grand pas.
La vie au bord de la mer était tranquille et sans histoire pour les habitants de la région. Seuls quelques ennuis avec le syndicat dans l'est pouvaient leurs causer du soucis mais l'armée de Hautebrande était là pour les protéger.

Malheuresement, la guerre dans le nord du pays avait réquisitionné les troupes pour la reprise
d'Andorhal et la cité se retrouva sans aucune défense si un danger quelconque vennait la menacer.
"Bah ! Qui voudrait nous faire du mal ? Nous ne sommes que des fermiers, se dirent-ils. De plus, une
petite garnison était resté en ville en cas de pépin... Nous ne craignons rien !"

Hélas... Un jour un cavalier arriva emmenant avec lui une bien triste nouvelle. Une grande armée de
réprouvés a été vu et se dirigerait apparement vers l'un des derniers bastion humain de l'alliance :
Austrivage. Comprennant le danger qui s'approche, les dirigeants de la ville ordonnèrent l'évacuation
immédiate de la ville, obligeant les gens a partir de chez eux avec pour tout bagages quelques habits
chaud et de la nourriture. Juste de quoi tenir quelques jours mais surement pas un hiver qui s'annonce long et particulièrement froid.

La milice urbaine de la petite garnison prit les armes et courut enroler de force des jeunes gens tout
en aidant les habitants au départ. Ce fut bientôt une armée composé d'un bon millier d'hommes qui
sortie de la ville pour partir à la rencontre des morts-vivants, poussé par les encouragements et les acclamations de la foule qui fuyait vers les terres d'Arathi ou de Fenris. Les soldats qui appartiènent à cette milice sont pour la plupart jeunes et inexpérimentés et n'ont même jamais combattu auparavant. Peu d'entre eux reverront leurs familles...

Parmis cette petite armée fraichement constitué qui se mettait en marche, le coeur lourd et la peur au
ventre, se trouve un régiment d'arbalètrier ; Deux cents hommes à peu près, une cinquantaine de
cavaliers et tout un bataillon de fantassin équipés de diverses armes de corps à corps allant de la simple épée aux armes d'hast. Ces soldats sont dirigés par le vieux capitaine de la milice, Stan Howind, un vétéran de la deuxième guerre contre les orcs.


Le face à face,


Après deux heures de marche forcé, des éclaireurs revinrent de l'est, indiquant que l'armée ennemi
était toute proche. Les humains décidèrent de se positionner sur une petite plaine, entourée de collines et bordée d'une forêt. Idéal en cas de retraite.
Ils attendirent donc. Les minutes passaient lentement et le temps semblait s'être ralenti.

Ils les virent, enfin. Une masse sombre en mouvement remplissa peu à peu la colline et les prairies
envirronante, avalant même la lumière du soleil. C'est un spectacle terrifiant et la sang des hommes semble s'être glacé. Un silence de mort s'abbatie alors et seul le vent venait briser cette triste ambiance. Ce ne sont pas moins de quinze milles réprouvés qui se trouvaient devant eux, formant un gigantesque tapis de fer noir et de violet, couleur emblématique des armées de la dame noire.
Des piquiers, des hallebardiers, des soldats d'élites armés de boucliers, des cavaliers galopant sur les flancs, des engins de sièges... Les hommes apperçurent même au loin d'étranges chariots remplis d'un liquide verdâtre accompagné par des membres de la société royal des apothicaires.

A l'avant de cette imposante armée, la garde noire de la reine banshee cavala en direction de la milice, les étandarts de fossoyeuse flottant dans le vent. Le capitaine de la garnison fit de même et galopa avec sa garde rapprochée à la rencontre des anciens chevaliers déchus.
Des mots s'echangèrent entre les deux chefs et leurs escortes. Le général réprouvé portait un masque et une lourde cape brune qui venait couvrir son dos vouté. Le ton monta aux bouts de quelques minutes, les gardes des deux factions dégainèrent leurs armes en les pointant vers leurs ennemis. Un rire caverneux se fit entendre vennant du général des morts sans doute et chacun des deux camps regagna son poste, aucune solution n'ayant été trouvé.

Le capitaine ordonna le déploiement des troupes à ces officiers. Les arbalétriers se déplacèrent vers l'arrière et les lanciers se placèrent à l'avant pour former un mur de pique censé stoper les assaillants.
Les cavaliers bougèrent plus loin disparaissant derrière une colline ; Leur rôle serait de prendre l'adversaire dans le dos si jamais une charge reprouvé était lancé.
Coté ennemis, des mouvements eurent lieux également. Leur armée avait formé plusieurs lignes. Trois dirait-on.

Monté sur son cheval de guerre, le vieux capitaine leva son épée vers ses hommes et prononça un discour exaltant, histoire de redonner un peu d'espoir à ses soldats. Ils en avaient grand besoin effectivement... Comment ne pas avoir peur face à un adversaire beaucoup plus nombreux, mieux équipé et qui ne connait ni la peur ni la mort ?
Il n'y a aucune chance de victoire, les hommes le savent et leur moral en fut anéantis.


La bataille,


Fin d'après midi, un son de tambour et de trompette résonna dans la plaine, la bataille commença.
La première ligne réprouvé avança vers le mur de la milice, appuyée par les tirs de leurs machines de guerre. Il y eu des cris d'alerte dans les rangs humains et les pierres touchèrent le sol. Des hurlements de douleurs s'en suivirent ; Les catapultes ont fait mouche.
Entre temps, l'infanterie reprouvé avait avancé et se trouvait à quelques dizaines de mètres des lanciers.Une horrible puanteur les accompagnait, un mélange de cadavres, charognes et haleine de worgens. Un véritable supplice pour les soldats de Hautebrande qui furent pris de nausés. Même le vent était contre eux...

Soudain une pluie de carreaux tomba du ciel, fesant pleuvoir la mort sur les fantassins réprouvés, perçant leurs armures et les clouant au sol. Des cris de rage sortirent de la bouche des morts-vivants
tandit que les arbalétriers rechargaient leurs armes avant de tirer une seconde salve, esperant arrêter
l'avancée ennemis. Rien à faire... L'infanterie reprouvé marcha toujours en direction de l'armée
humaine tout en étant noyé sous le feu de la milice. Un cor sonna, puis un deuxième et les anciens soldats de Tirisfal se ruèrent à l'assaut, vennant se fracasser sur le mur de pique.

Ce fut un effroyable bain de sang, les hommes, trois fois moins nombreux se battaient comme des lions, essayant de faire mordre la poussière à leurs adversaires. Les boucliers s'entrechoquèrent, les lames frappèrent, taillèrent des membres et les masses d'armes broyèrent, écrasèrent les os et armures des soldats réprouvés et humains. Les morts-vivants étaient trop nombreux, si un tombait, deux autres prennaient sa place. Les corps des soldats s'entassaient, rendant les combats plus difficiles, risquant de faire tribucher les combattants vers leur propre mort.
La ligne de lancier de l'armée humaine ne tiendra plus très lontemps.

Bientôt, un troisième cor sonna au loin, assez fort pour venir couvrir le bruit de la bataille et la deuxième ligne reprouvé se rua elle aussi dans la mélée pour écraser l'ennemi sous le nombre. La cavalerie d'Austrivage arriva juste à temps et tenta de couper désesperement la charge de l'infanterie afin de donner une chance à leurs fantassins de repousser la première vague de réprouvé.
Les cavaliers furent vite rattrapés par la cavalerie lourde de fossoyeuse et un nouveau front, plus petit, fut ouvert. Les soldats montés, bien que courageux, se firent massacré sur place... Un sacrifice glorieux certes, mais inutile.

Une fois leur combat terminé, les chevaliers noirs chargèrent à leur tour en direction des arbalètriers et s'abbatirent sur ces derniers avec un bruit assourdissant. Les hommes avaient beau se défendre, tuant des morts-vivants par dizaines, par centaines, leurs nombres diminuaient à vue d'oeil. Au coeur de la bataille, Stan Howind tomba à terre, tué non pas par la lame d'un chef ennemi au cour d'un duel épique, mais par la dague d'un simple épéiste réprouvé. Le chaos s'en suivie, voyant leur capitaine
disparaitre et leurs frères d'armes tombés l'un après l'autre sous les coups haineux des réprouvés, les soldats cherchèrent à fuir la bataille entrainant avec eux la fin du combat et la chute de l'humanité sur ces terres.

La ligne des lanciers se brisa et les réprouvés purent s'engouffrer dans la brêche, taillant en pièce les hommes prit de panique. La pluie de carreau avait cesser, les arbalétriers étant submergés par le nombre des cavaliers. Les machines de guerre continuèrent à envoyer leurs projectiles sur le reste de l'armée humaine en déroute, poursuivit par quelques détachements de mort-vivants.

Une poignet de miliciens eurent la chance de survivre au massacre, fuyant vers la forêt voisine, hors
de vue des troupes réprouvés. Pendant que certains courraient vers le sud, d'autres se retournèrent pour contempler la désolation. Des morts jusqu'a l'horizon et des troupiers réprouvés qui se regroupaient. Ils ont perdu de nombreux soldats eux aussi mais leur force principal était intact.
Plus bas dans la plaine, les étranges chariots sont entrés en action, vaporisant un gaz vert qui se
répendit sur le champ de bataille. Cette nappe de brouillard semblait faire pourrir la terre, brulant l'herbe et fesant fondre les cadavres de leurs anciens camarades. Un spectacle répugnant, comment
lutter face à tant d'horreur et d'attrocité ?

Trois jours s'écoulèrent depuis la bataille et l'armée reprouvé se scinda en deux parties. La première, la plus imposante, se mit en marche vers Austrivage emmenant avec elle les chariots à poison. L'autre partie resta sur place, fouillant et choississant parmis les cadavres des hommes restant les mieux conservés. Les morts furent placés dans des charettes fraichement arrivés pour finalement être expédiés dans la sombre forêts des pins argentés.


Présentation rapide du personnage et de ses motivations :


Un vide, un noir infini. Une violente lumière vient briser ces ténèbres sans limite.

Fervon ouvrit les yeux. Devant lui se trouvait quelqu'un. Un cadavre pensa t'il. Ce dernier était étalé
dans la boue, tout comme lui. Fervon se redressa sur ces fesses et observa autour de lui. Il fesait nuit
apparement, la lune et les étoiles offrirent tout de même assez de luminosité pour y voir clair. Sa vision était légèrement brouillée mais il put distingué des corps éparpillés tout autour de lui. La plupart d'entre-eux portaient des armures vieilles et rouillées. Le Landzer regarda plus loin et s'aperçut qu'il était dans une forêt, sombre et humide où de grands pins l'entouraient. Ils étaient si haut que leurs cimes semblaient vouloir cacher la vue du ciel à Fervon.

Où était-il ? Comment ? Il se souvient d'une bataille. Il était... Oui, un soldat. Des cris, des hurlements. Des cavaliers en armures noirs chevauchant les lances pointés sur... Lui ? Il se rapella égallement être entouré d'autre soldats, des amis, des frères... Tout est si vague dans sa tête.

Fervon se mit debout avec difficulté et entendit le hululement d'une chouette. Etrange... Il ne sentait pas ses jambes et pourtant il se tenait debout sur ses pieds. Il se baissa et regarda de plus près ses
bottes en cuir completement trouées, il souleva son pantalon en maille et failli tomber à la renverse
en découvrant ses jambes. Sa chair semblait partir en lambeaux et il apercevait même l'os jaune de
son tibia. Il vit également ses mains et la même scène d'horreur l'envahie. Ses doigts n'étaient
plus que des bouts d'ossements reliés entre eux par des tendons et quelques bouts de peaux.
La peur s'empara de lui et Fervon remonta ses mains pour toucher son visage.

Sa mémoire lui revient. Il était arbalétrier et servait dans la garnison de sa ville natal, Austrivage.
La bataille ! Les réprouvés courrant des les plaines, s'écrasant sur les lignes de la milice.
Il se rapella avoir tiré avec son arme, la recharger, et retirer avec encore, et encore... Il se souvenu
d'un bruit, le son d'un cor de guerre, puis d'une charge de cavalerie dans le flanc du regiment dans lequel il se trouvait. Pas le temps de fuir...
Sa dernière image était celle d'un chevalier vétu d'une armure noire et d'un tabar violet fonçant sur
lui, transperçant sa mâchoire avec sa longue lance. Puis plus rien, le néant.

Ses mains passèrent sur son visage et fervon hurla de toute ses forces ! Il n'avait plus de mâchoire !
Toute la partie inférieur de son visage était absente. Mais comment pouvait il être encore en vie malgrès le fait qu'il soit... mort ? Il comprit sur cette pensée ce qu'il était devenu. Un mort-vivant.

Fervon chercha autour de lui un mirroir, une flaque d'eau ou quelque chose lui permettant de voir son visage. Rien, il n'y avait que de la boue et de l'herbe écrasée. Alors il se mit à courir à travers les
bois, à fuir en espérant que tout cela n'était qu'un mauvais rêve. Dans sa course il reconnut dans
quelle région il s'était réveillé, la forêt des pins argentés...

Deux années se sont écoulées et notre héros sert désomé avec loyauté les réprouvés, sa nouvelle patrie, la horde et la reine banshee Sylvanas. Il est combattant en tant qu'arbalétrier dans l'armée
de cette dernière. Fervon participa à de nombreuses batailles contre les worgens en compagnie de ses nouveaux frères d'armes, certains même sont d'anciens camarades tombés au combat. Il menna des
raids, accompagna des armées au coeur même de Gilneas, affronta des membres de la croisade écarlate dans le nord de Tirisfal et fit même partie d'une troupe d'invasion dans les malterres de l'est.
A chaque fois, le soldat Fervon Landzer revennait couvert de blessures mais également plus résistant
et plus puissant qu'à son départ.

C'est un soldat exemplaire, courageux et volontaire. Il avoue une haine féroce envers les
Hommes-loups, ces worgens... Fervon a perdu beaucoup d'amis à cause de ces bêtes.
Il apprit en rentrant d'une mission à la frontière de Gilneas qu'une unité d'élite a été crée pour
servir et protéger la société royale des apothicaires. Elle rechercherait des membres réprouvés
vétérans et disciplinés, qui ne reculeraient devant rien pour accomplir diverses missions.
Peut-être est-ce là une chance pour lui d'intégrer un corps d'élite ? Motivé et plein de volonté,
Fervon pris son arbalète, mit son épée dans son fourreau et se dirigea vers la tente de son
supérieur. Il lui demanda si une mutation était possible vers le nouveau bataillon nommé
"La lance de Lordaeron". Son lieutenant prépara une lettre et l'envoya au maître-apothicaire
Devink Cherter tout en lui disant de ne pas se faire beaucoup d'illuson, seul les meilleurs sont
acceptés parmis cette organisation militaire.

En attendant une réponse, Fervon partie de nouveau en mission près d'Ombrecroc. Une meute de
Worgens semblerait terroriser la région et il compte bien y mettre un terme.


___________________________________________________________________________________


Voilà ! Je pense avoir dit le principal.
Je suis débutant en RP même si j'ai quelques petites notions dans ce domaine.
J'ai toujours aimé jouer Réprouvé et j'ai pu voir que votre guilde est plutôt bien construite
et très soudé. Tout comme mon personnage, j'espère avoir une réponse très rapidement !
Mais cela ne presse pas non plus.
Je suis souvent connecté en jeu, les jours de semaines et les soirs. Si vous avez des questions
à propos de mon "Fervon" ou autre n'hésitez pas ! Smile

Bon jeu a vous !


(Il y'a surement quelques fautes d'orthographes. Pitié ! Me frapper pas !)
Fervon Landzer
Fervon Landzer

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Message  Eylin Lun 25 Fév - 17:34

[HRP]

Bonjour Fervon !

Je ne vais pas tourner autour du pot, ton texte est vraiment génial ! J'ai repérer quelques fautes en le repassant a la loupe, honte a toi ! Attend que je chope des cailloux pour te lapider !
Nah franchement, ce texte est génial. Bien qu'il raconte surtout la bataille d'Austrivage et la mort du personnage, on en apprend pas mal sur le Fervon post-mortem dans sa "petite" presentation, même si c'est un peu concis a mon gout !. Razz

Pour moi c'est un grand oui, et j'ai hate que l'on passe l'entretien en jeu pour aborder la seconde part de la candidature. Si un créneau horaire en particulier t'arrangerait, n'hésite pas à nous le dire ! Surprised

A bientôt, et bonne journée !

[HRP]




Eylin
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Message  Devink Cherter Lun 25 Fév - 18:47

[HRP/] Candidature validé en jeu. Bienvenu chez nous ! [/HRP]
Devink Cherter
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